Financement participatif

Appel au don pour m’aider à retrouver mes photos…

Disque dur planté… un seul exemplaire !!! Quelques photos récupérées mais combien de souvenirs enfuis ? Combien d’images patiemment enregistrée de la nature, vivante et physique à refaire, à revivre ? Combien d’instants exceptionnels qui ne se reproduiront jamais ?

Mon disque dur peut être sauvé en « salle blanche », c’est la tête de lecture qui a rendu l’âme. J’ignore ce que cela peut me coûter, mais qui sait, peut-être quelqu’un connaît quelqu’un qui connaîtrait quelqu’autre… qui pourrait m’aider ! N’hésitez pas à me contacter.

Appel au don pour un renouvellement de matériel

Je suis né en 1958. Formation initiale en technologie, et expérience professionnelle de 18 ans en enseignement (sans master) ne font pas bon ménage : je chôme depuis août 2009 (quelques heures par-ci par-là, mais pas suffisamment) et je n’arrive pas, nous n’arrivons pas, à trouver de financement pour notre laboratoire de recherche fondamentale en physique du vivant, une science en naissance qui mise sur ma connaissance du sujet depuis 15 ans et ma disponibilité !).

Je souhaite renouveler mon matériel sur la base du financement participatif (voir chapitre plus bas).

Un peu de mon histoire avec la photographie.

Je découvre la photographie vers 9-10 ans avec le Semflex (4×4) de mon père qui finit par me transmettre son Kodak Retinette. La photo me mord doucement.

Adolescent, avec mes premiers sous je m’achète un Pentacon, mon premier reflex, plutôt boite à savon… mais le virus inoculé prend vigueur.

Il me faut un autre boîtier, plus performant. Je revends la boite à savon sans aucun état d’âme pour celui qui pense faire une bonne affaire (je n’arriverai plus maintenant à faire cela !). Et c’est l’Olympus OM 1 qui reçoit mon approbation parce que je trouve alors trop commerciale les marques Canon et Nikon (avis d’ado!).

Très vite il est revendu à mon père pour acquérir un OM 2 de la même marque. Un bijou qui va accompagner ma découverte du monde, résistant au chaud au froid à l’humide sans jamais se plaindre. Il va faire en haute montagne, mon domaine de prédilection, un compagnon de mes chasses natures amoureuses. À cette époque je développe mes diapositives et fais du tirage N&B.

On me vole cet appareil à Nîmes avec mon zoom 35-205. Je garde précieusement mon 50mm f 1.8 et mon 400mm f 6.3.

Désolation, tragédie !

Il me reste aussi un 28mm f 2.8, un soufflet macro, un flash et quelques accessoires passe-partout mais la photographie s’éloigne pendant plusieurs années malgré un OM 10 avec un 50mm f 1.8 qu’on me donne et dans lequel je vais jusqu’à laisser une pellicule pendant 14 mois, pellicule qui sera légèrement voilée à son développement….

À part des tonnes de diapo qui sont chez mes parents et les optiques, j’avais bazardé tout le reste, cela n’avait plus d’intérêt ! Réaction stupide à une blessure plus profonde que je n’aurais cru. Maintenant… je regrette (un peu, par nostalgie sans doute).

L’avènement du numérique soulève de nouvelles intentions. Mais quoi, les reflex sont hors de prix.

Je vais un jour  recevoir un appareil photo numérique kodak qui me redonne le goût à l’image (2004) mais ne comble aucunement l’envie de voir et transmettre qui ressurgit.

Je finis par m’offrir un reflex. Pour le prix, le poids, l’expérience aussi, et à cause du matériel qui me reste de l’OM2 je choisis l’Olympus E510.

J’ai acheté le kit faute de moyens suffisants, et de manque de persuasion pour faire comprendre à mon épouse que je voudrais bien un peu plus.

À la réception du colis je découvre un nouveau matériau : des objectifs avec lentilles en polycarbonate. Léger oui mais un peu décevant car je n’avais absolument pas pensé à relever ce détail qui avec l’OM2 ne s’était même pas posé ; de plus le piqué laisse à désirer, les blancs grillent souvent, je dois sous-exposer.

Mais bon je me fais plaisir à faire des photos, et surtout je prends plaisir à (re)voir ce qui se cache à la vue première, à la vue instantanée, à la vue superficielle.

Je ne pense pas que le niveau technique d’un appareil fasse le photographe mais il contribue souvent à doper son imagination, sa créativité.

Financement participatif

Je souhaite rester fidèle à Olympus, c’est comme ça… Je vise le matériel suivant

Voilà vous savez tout…

Contreparties pour les contributeurs :

  • Don < 50 € : un tirage 20 x 27 HD signée et numérotée de la photo de votre choix parmi celles de mon site (contrepartie effective)
  • Don > 50 € : une séance photo d’une heure si vous passez par chez moi ou alors si au hasard de mes pérégrinations je passe vers chez vous (contrepartie affective… et aléatoire mais cordiale).

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