Dieu seul sait où peut mener l’art, oh, pas un dieu binoclard à la barbe de 15 milliards d’années… non le vrai ! Même pas celui des églises, des mosquées, des temples et autres nids d’aigle et d’âme, non, là on ne trouve que des dieux inaccessibles, souvent de pacotilles, d’apparats, ils sont fait en sucre d’orge comme des choses du dehors…
I) Variations sur une photo de neige dans le Gard… le 6 janvier 2021.
Aux allures de haïcku libre
Combien de fèves glacées
Et combien de rois au ciel ?
Temps de frangipane…
… et de couronnes de papier !
Lumineuses nébuleuses, pépinères d’étoiles à six branches Lien La neige tombait à gros flocons tous plus chargés les uns que les autres de dizaine d’étoiles de neige prisonnières les autres des unes. On trouve parfois des algues bioluminescente (le bio me semble ici un peu superflu). Lien vidéo Photo d’eau rigine
II) Variations sur une rose en Janvier
La rose était en bouton sur la planète blanche
Tandis que la neige floconneuse tapissait mes manches
(pour la frime)
Au rythme lent de la courteur des jours de l’hiver
Elle a poussé sa chansonnette canari ou pivert
(pour la rime)
6 janvier 2021 29 janvier 28 janvier 28 janvier 29 janvier 30 janvier 30 janvier, jour de pluie
Je peux dire que les couleurs sont les bonnes mais suivez-les au fil des jours.
Le bouton sur sa tige a attendu sur les oripeaux de ses feuilles. Dans la haie, à travers les oliviers, les oiseaux n’arrêtent pas. La vie est là. Forte, indispensable à la marche du monde. Ne les croyez pas quand ils vous parlent de Big-Bang et autres délires intellectuels ; regardez, et laissez-vous porter, toutes les réponses sont là, autour de vous.
Les questions les plus profondes ne trouveront jamais de réponse dans les cailloux du chemin, mais les cailloux du chemin peuvent vous mettre sur la piste. Le secret du monde est à portée de main.
Tenez, là les oiseaux chantent, il est 7h56 le 30 janvier 2021. La vie frappe à la porte…
Aucune molécule n’agite votre cœur, mais sans elles vous ne sauriez rien de vous. La vie était au commencement de la nature… je dis ça mais j’ignore qui a pondu la vie… , en tous les cas on ne la trouvera pas sous nos microscopes ni dans nos accélérateurs de particules. Au terme imminent d’une aventure de 20 ans à l’approcher à travers un regard scientifique, je dois dire que j’ai avancé mais exprimer cette avancement est extrêmement difficile. Je suis à la recherche d’un relecteur neutre, un.e artiste ingénu.e serait l’idéal pourvu qu’il.elle ait envie de faire un peu de science à partir de lui.elle-même (qu’est-ce que c’est c… ces questions de genre !).
III) Et Dieu dans tout ça ?…
Il (neutre**) a laissé un brin de Lui là on ne pense pas forcément à le chercher… Et ce petit brin est en quête de la seule vraie force à cultiver pour la faire s’épanouir : l’Amour.
I am
Rupert Spira
I have no words to express Myself but all words express only Me
I have no meaning but impart meaning to all that is perceived
I am without beginning and end but all things begin and end in Me
I have no name but am called by all names
I have no form but all form indicates Me
I have no origin but am the origin of all things
I am without division but all divisions exist in Me
I exist by Myself
[…]
The world is My mirror and I am its lover
I am peaceful like the sky
I am open like the sea
I am empty like space
I shine by Myself
I play
I enjoy
I am
source pour le texte complet : ici (par exemple)
source pour la vidéo qui me l’a fait connaître (extrait du texte, en portugais brésilien*) : ici
NOTES INTERROGATIVES
- portugais brésilien… : langue d’origine portugaise la plus parlée au monde… et pas de petit nom sympathique ! Pourquoi ?
- neutre : « il pleut. », qui pleut ? un garçon ?… le débat devient plus ou moins sensible à l’époque actuelle dans certaines sociétés par trop patriarcales. Comment favoriser une évolution du langage avant de parler grammaire ?
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