C’est en septembre
Que les ciels d’or
Languissent, le soir.
C’est en septembre
Qu’on peut alors
Aimer les voir.
L’air, encore doux
Plein de lumière
Exulte. Beauté !
L’air devient fou,
Brûle. Incendiaire !
Sérénité…
Le ciel s’embrase à coup de feuilles d’or
Combien l’humain est petit, avec ses lanterneaux (en bas à gauche)Le fer rougeoie tandis que la lumière s’éteint tendrement.Le ciel se dessine avec peu.L’ange passe, la nature se tait…Jupiter ?! Non, un jet-trail qui est tordu par les vents. L’action humaine est éphémère…Le ciel fait de la géométrie.Dans le ciel l’ange passe, Il regarde la Terre, Puis s’évanouit, lentement.Clin d’œil… Un doux dingue s’entraîne pour son message du lendemain : « Anne je t’aime suivi d’un cœur fléché. »
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