
Le froid a frappé fort
D’un seul coup de couteau en coin
Il a ciselé l’eau sans autorisation
De la part de l’étang transi.

Cette peinture éphémère
Qu’un rayon de soleil osé
S’est aventuré malgré lui
À effacer de notre monde
La photographie l’a sauvée,
« Immortalisée » sur un support
À peine moins éphémère qu’elle.
L’automne encore se gavait de ses ors
L’hiver n’en avait cure, l’eau devint cuir.
La nature fait ses griffes dans le monde de l’art
Même là où personne ne va voir son travail…
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