Nature…

Panorama_1

La nature jamais ne se lasse pour nous étonner,
Mais nous étonnons-nous ?
Sa maternelle essence la rend souvent trop anonyme
Trop quotidienne, trop humble aussi.
Elle nous tend la main, mais tendons-nous l’œil, l’oreille ?
Dans le tohu wa bohu de nos sociétés
Peut-on encore nous ouvrir à son discret silence ?

Naissance...

Elle attend que l’humain se réveille,
Réveille son humanité sans doute trop banale
A côté de ses rêves d’infini, de planètes à investir,
De technologies, de voyage en virtualité…
Mais ne sera-t-il pas bientôt trop tard
Pour penser à allumer notre si fragile flamme
Au feu vivant de la sienne ?

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Éléments de Sicile

Soleil levant
Du pied du Stromboli sur le feu du ciel qui s’incline
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Plagia de pavage à la plage (Milazzo)
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Rêve au long cours

Feu, pluie, vent, vague

Terre, sable, eau, lumière

Sourire, accent, accueil

Claire lumière, obscur sable

Sicile, entre Eolie et Taormina

De l’antiquité aux ambiances archéennes.

 

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La mer et l’air engendrent le feu avec la lumière
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Ils sont fous
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Horizerticalité contrastante : une balise au pied du Stromboli
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Crépuscule depuis la sciara del Fuoco au Stromboli

Stromboli

Une île, fondamentalement volcanique

Une île de paix, de calme, une île sereine

Une île de totale harmonie entre ses éléments

Une île de villégiature (hors saison…)

La sciara del Fuoco

Taormina

Ville d’histoire accrochée à sa montagne rugueuse

Garnie des sempiternels figuiers de barbarie

Aux glochides impitoyables pour l’innocent ou le curieux

On cause anglais à Taormina…

Un anglais italien qui coule et roule sur une pente volcanique

On voit des touristes, des japonais, des européens, des restaurateurs

Des siciliens aussi sans doute car ce sont eux

Qui s’apostrophent de 7h à 7h en passant par minuit et midi

Faisant résonner les rues, même pleines !

De la couleur, de la gaité, des grands gestes

Des cris de joies de vielles habituées de la place.

Que la longueur du temps passe vite

même si on chahute parfois l’instantanée…

Cet été j’ai vu des choses, j’ai fait des choses,

J’ai savouré des instants et j’ai délaissé (un peu) mon appareil.

Le fait de vouloir être* en est peut-être la cause,

L’instant vécu sans interface est toujours merveille.

Mais bon j’ai quand même quelques images à partager…

Vrac en début de printemps

Vous voulez voir des « bawis » ? Cliquez ici.


Quelques images qui parlent !

Il suffit de regarder au tour de soi

Et d’écouter.

Christian Bobin :
« Un peintre c’est quelqu’un qui essuie la vitre entre le monde et nous
avec de la lumière, avec un chiffon de lumière imbibé de silence. »

Bienvenue en Photoésie

RAPPEL :
les yeux valent tous les capteurs photo…
parce que chez ces derniers, il n’y a rien derrière pour mettre en lumière,
seulement l’ombre des chiffres.

Salut la compagnie !

Ce site est dédié à mes photos sur trame de poésie.

Il n’y aura pas d’articles intello…

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Photo de Viola Loretti ayant atterri sur mon mur facebookien accompagné de cette citation de Charles-Ferdinand Ramuz ([1878 – 1947] – écrivain et poète suisse in Les belles pages de c. f. ramuz – édition 1950) :

 » Il n’y a plus de solitude là où est la poésie. « 

Merci à l’auteure de me contacter le cas échéant.

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